30 x 40

  • Savane tirage argentique

    Savane

    250,00 

    Tirage n° 2/9

    La savane… J’aime m’y promener, m’y perdre un peu… et la photographier. Le vent y balaie les hautes herbes, qui se courbent doucement, puis se redressent, elle respire au rythme de l’air chaud, elle vit. Regardez bien… Fermez les yeux… Vous y êtes.

    Sur ce  tirage on retrouve bien le grain de l »argentique.

  • Seul

    Seul

    250,00 

    Tirage n° 10/15

    Tirage manuel en chambre noire sur papier baryté qualité musée.

    Attiré par cet arbre solitaire, j’ai volontairement éclairci le ciel en chambre noire pour lui offrir plus d’espace. Le ciel se fond dans la marge du papier, laissant l’arbre respirer dans le silence de ce lieux, une photographie très minimaliste.

  • Sossusvlei 1

    Sossusvlei 1

    220,00 

    Tirage n° 6/15

    Photographie et tirage argentique, sur papier Baryté à base de bromure d’argent.

    Dune du désert du Namib.

    J’ai photographié ce que la nature nous offre.

    Cette photo m’évoque le dos d’une femme nue, et vous ?

  • Station Namibie

    Station

    220,00 

    Tirage n° 5/15

    Photographie et tirage argentique sur papier Baryté à base de bromure d’argent, fait à la main en chambre noire.

    Ancienne gare de Garub, figée dans le sable du Namib, vestige solitaire d’un passé ferroviaire oublié. Un lieu fantomatique où le désert reprend ses droits.

  • Texaco, Guyane Française

    Texaco

    260,00 

    Tirage n° 2/9

    Tirage manuel en chambre noire sur papier fibre.

    Cette photographie a été réalisée en Guyane, c’est une ancienne station Texaco qui m’a immédiatement interpellé. J’ai tenté de traduire au plus près ce que j’ai ressenti en découvrant ce lieu, une atmosphère suspendue, entre mémoire industrielle et solitude. Le tirage a été effectué sur papier mat, avec un virage au sélénium pour renforcer la profondeur des noirs et accentuer la densité.

  • Trio, tirage argentique sur papier baryté

    Trio

    250,00 

    Tirage n° 2/9

    Face à l’océan, trois choka. Quand je les ai vus, j’ai aussitôt pensé à un trois-mâts, prêt à lever l’ancre. Leurs silhouettes végétales semblaient attendre le départ, celui du grand large. Une scène silencieuse, comme une promesse de voyage.